Démarche artistique
Aussi loin que je puisse me souvenir, j’ai toujours été le chouchou de mes professeurs d’art.
Les étés passés à la campagne, loin de la ville, près de la nature et des grands espaces m’inspiraient. Cette solitude, qui n’appartenait qu’à moi, faisait germer des tonnes d’idées. Mes
premières créations étaient confectionnées à partir de feuilles et de morceaux de bois.
Ces moments de découvertes innocentes, combinés à l’influence artistique de mon père, à mes amours, à mes nombreux voyages et à la naissance de ma fille unique, ont fait émerger l’artiste que je suis aujourd’hui.
Toujours et encore aussi passionnée de création.
Autodidacte comme mon père que j’observais travailler enfant, je puise mon inspiration de cette curiosité héréditaire, de ce désir de libre expression et de la nature toujours changeante, des panoramas qui m’entourent.
Mon travail m’amène à m’installer pour de longues périodes dans des villes étrangères.
De Hong Kong à Singapore de Macao en Australie et finalement aux États-Unis. Ceux-ci éduquent mes oeuvres et mon cheminement artistique.
L’Asie reste l’endroit le plus marquant et le plus inspirant où il m’a été donné de m’installer. Un simple plongeon dans ces souvenirs m’inspire sagesse et recueillement. Pour sa part, le désert du Nevada marque mes oeuvres par son calme et sa sérénité.
2009 fut le moment charnière où j’ai troqué mes pinceaux pour des chiffons, une spatule et mes doigts. Et c’est là, comme j’étais à la recherche de profondeurs, de textures et de contact direct avec la matière qu’est née ma passion pour l’abstrait. Cette nouvelle passion est libératrice et j’y vois encore et toujours d’infinies possibilités.
La vie est remplie de surprise en 2016 de retour en Tournee et la naissance de mon petit fils c est comme si j etais tombee dans la Potion Magique D Obelix
De retour a l Illustration mon monde imaginaire je peins depuis de 8 a 10 heures par jour et je cree et je cree un monde pour enfant
L imaginaire est un monde infini .......
Ce que chacune de mes oeuvres dégage, dépend toujours de qui la regarde.